| Clemy | | Membre |  | | 42 messages postés |
|  Posté le 07-08-2005 à 17:09:31   
| Comme un état naturel, on a tous droit au soleil
D’abord on habite son corps, civilisation d’accord
Pour toi et moi, le même émois, mais on ne se ressemble pas
Je dévoile en douceur, toi tu restes à l’intérieur
Si tu crois, que comme tu te caches, tu évites, que ton dieu se fâche
Si tu dois, prié sans relâche, le désir, celui qui t’attache.
Refrain :
A ta liberté, celle d’être une femme,
A la vérité, la paix de nos âmes,
A ta liberté, nos joies et nos larmes,
A l’égalité, celle que tu condamnes.
Es-tu fragile ou docile ? De fierté tu te maquilles,
Sans un mot tu renonces, mais dans tes yeux les réponses,
Ça me fait mal, c’est vital, car jamais tu ne te découvres,
Tu fais dire au fous, t’es qu’une femme a près tout
Si tu dis, que je te rejette, si tu nies que je te respecte,
Si tu veux, qu’on soit ennemies, oui, tu peux, changer d’alibi.
Refrain
A ta liberté, celle d’être un femme… la paix de nos âmes
A ta liberté, nos joies et nos armes… celle que tu condamne
La différance, c’est cadeau, mais la souffrance, c’est fardeau.
Comment devenir des sœurs, si tu enfermes ton cœur ?
Refrain
A ta liberté, celle d’être un femme… la paix de nos âmes
A ta liberté, nos joies et nos armes… celle que tu condamne
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